Le son du musicien

Mes réflexions sur la production du son du musicien se développent autour des concepts suivants : Le son et la vibration interne En découvrant le saxophone alto, après la clarinette, j’ai pris conscience de la nécessaire fondation du son, résultant de la maîtrise de la vibration interne au corps : en évitant toute contraction physique perturbant le geste musical… Poursuivre la lecture Le son du musicien

colonne de son

Le son et sa colonne La vibration interne du musicien est la matière première de son expression artistique, qui s’extériorise finalement par son instrument. La colonne à la une La résonance interne de l’instrumentiste à vent se développe dans sa colonne d’air, puis est amplifiée par l’instrument, par l’intermédiaire des cordes vocales et de l’embouchure. « Il faut… Poursuivre la lecture colonne de son

convergence

Les convergences multiples du son Ça converge de partout Le son personnel résulte donc de convergences multiples, entre et plus globalement, entre les propres images mentales du musicien et le contrôle physique qu’elles orientent, comme le bassin et la verticalité, ainsi qu’on le voit dans L’oreille et la voix d’Alfred Tomatis. « Être indivisible.Tirer la nuque avec les reins.Faire… Poursuivre la lecture convergence

doigts et langue

Les doigts et la langue sculptent le son Le son vibrant de la colonne de son constitue la matière à travailler, à sculpter par l’articulation associant les doigts et la langue, qui apparaissent dans ce processus comme le lien physique entre Avec doigté et une langue bien pendue jusqu’au bout des doigts Les doigts entrent en jeu… Poursuivre la lecture doigts et langue

embouchure

L’embouchure pour le son L’instrument du musicien à vent devient littéralement son porte-voix par l’intermédiaire de son embouchure. Bas le masque ! L’ensemble bouche / bec / anche / ligature constitue l’embouchure globale : cette configuration est variable d’un instrumentiste à l’autre, trouvant son équilibre entre sa morphologie et le matériel utilisé. La résonance interne du musicien… Poursuivre la lecture embouchure

instrument

Le son et l’instrument La qualité du son émis est assurée si le corps du musicien et son instrument sont littéralement sur la même longueur d’onde. L’union du corps et de l’instrument L’instrument, qu’il soit à vent, à cordes, à peaux, apparaît comme l’amplificateur de la voix du musicien : pour profiter de l’acoustique de cet amplificateur, l’instrumentiste vise… Poursuivre la lecture instrument

ne pas souffler

Le son sans souffler Comment le fait de ne pas souffler enrichit le son généré par la vibration interne. On joue de son corps Pour assurer une attaque nette, qu’elle soit fff ou ppp – et sans coup de langue à la première émission ! -, on imagine le bord du bec placé précisément à la source du son. En respirant naturellement, on… Poursuivre la lecture ne pas souffler

posture

La posture pour le son La posture du musicien vise à favoriser la fusion de son corps et de son instrument. Le corps s’aligne pour vibrer En visualisant ses racines, on les imagine plongeant dans le sol, à partir de cet arbre virtuel représenté par la colonne de son : on est planté là, bien stabilisé (durant… Poursuivre la lecture posture

sensations

Les sensations du son La maîtrise de son expression passe par le plaisir, d’autant plus spontané et gratifiant qu’il résulte d’une décontraction, plutôt que d’un effort physique. On ne se sent plus ! La relaxation assure en effet la qualité du son. « La pensée engendre la volonté, ça c’est sûr, la volonté détruit l’envie et sans envie il n’y… Poursuivre la lecture sensations

tronc virtuel

Le tronc du son Là où l’on se découvre perché sur un tronc virtuel. Savoir se planter Faire corps avec son instrument favorise la verticalisation de la colonne de son, en laissant la relaxation se dérouler vers le bas ; on oublie alors la partie de son corps située au-dessus du diaphragme, en visualisant l’embouchure à… Poursuivre la lecture tronc virtuel